Un besoin de repartir sur de nouvelles bases
C’est au parc exposition de Montpellier que s’est déroulé le salon de l’immobilier 2016 du 22 au 25 septembre entraînant dans son sillage de nombreux contacts entre professionnels et particuliers, mais aussi entre vendeurs et acheteurs. Les événements de ce type sont l’occasion de faire le point sur les disparités entre les différentes villes de la région et notamment entre les prix de vente de bien. L’on se rend alors compte que les estimations de prix à Montpellier sont plus élevées qu’à Toulouse ou encore que l’immobilier neuf a toujours le vent en poupe dans le Languedoc-Roussillon. Si l’ancien plaît encore, c’est surtout dans des quartiers côtés comme Saint-Roch et l’Écusson. Les biens les plus recherchés ont des prix moyens compris entre 180 000 et 300 000 euros.
Des prix de vente qui se stabilisent enfin
Les prix des appartements dans l’Hérault et plus particulièrement à Montpellier se stabilisent en novembre. Pour environ 3000 euros du m², les Montpelliérains peuvent s’offrir un duplex du côté de l’hôtel Jacques-Cœur ou dans le quartier d’Aiguelongue. Pour se rapprocher de l’Écusson, haut-lieu très huppé, il faudra débourser un peu plus, entre 4000 et 6000 euros du m². Si les prix des maisons ont chuté depuis octobre, ceux des appartements ont subi la tendance inverse. L’immobilier se porte bien à Montpellier mais finalement tout est fonction du quartier dans lequel se trouve le logement. On recherche les lieux bien fréquentés, animés, proches des centres culturels et sportifs, des services et des écoles, parfaitement desservis par les transports en commun. La vie à Montpellier s’organise autour de 5 quartiers résidentiels principaux : Ecusson, Beaux-Arts, Boutonnet, Arceaux et Aiguelongue.