Le constat de l’ANSES
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) vient de dénoncer la pollution ambiante dans les gares souterraines et métros français. Les résultats du rapport sont éloquents : la concentration en particules inférieures à 10 microns, appelées « PM10 », a été mesurée entre 70 et 120 µg par m³ sur une durée de 24 heures au niveau des quais. Des résidus de métal, fer et carbone ont notamment été détectés.
Malgré ce constat alarmant, les métros font partie de la vie des citadins. A Rennes comme ailleurs, une bouche de métro proche d’un logement à vendre en augmente la valeur. On recherche la commodité pour chaque déplacement du quotidien. Selon sa situation personnelle, l’acheteur potentiel est prêt à consentir à un effort pour bénéficier de la proximité des transports en commun mais aussi des commerces, des écoles, des crèches et autres infrastructures.
Les opportunités à Rennes et en Ille-et-Vilaine
Ville emblématique du Grand-Ouest, Rennes bénéficie d’un marché immobilier riche et varié en constante évolution. Au 13 septembre, les prix de vente médians des maisons sont plus élevés qu’en février : le prix au m² est évalué à 3124 euros. Le prix de vente des appartements est plus modéré : 2 843 euros le m². Il est en légère baisse par rapport aux relevés de début d’année. Il faut dire que les maisons sont rares : 14% seulement du marché immobilier actuel.
Comme ailleurs en Ille-et-Vilaine, les prix se maintiennent. Les statistiques montrent un nouvel engouement pour les maisons mais des prix de vente au m² bien plus élevés pour les appartements de 460 euros environ. Dans le département, les maisons représentent 60% du marché immobilier. Leur superficie moyenne varie de 80 m² à 150 m².